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Les Congolâtres
In de naoorlogse jaren werden bijkomende lijnen vanuit Katanga opengesteld. Enerzijds een lijn van de
firma B.C.K. (Bas-Congo au Katanga) die Elisabethville over Tenke met Port-Franqui verbindt, waar ze
aansluit op de Kasai-rivier. Anderzijds de lijn Tenke-Dilole, die in Angola wordt verder getrokken tot
Lobito en de meest directe verbinding van Katanga met de Atlantische Oceaan vormt.
Des lignes supplémentaires du Katanga ont été ouvertes dans les années d'après-guerre. D'une part, une
ligne de la société B.C.K. (Bas-Congo au Katanga) reliant Elisabethville à travers Tenke à Port-Franqui
où elle rejoint la rivière Kasaï. D'autre part, la ligne Tenke-Dilole, qui se prolonge en Angola jusqu'à
Lobito et constitue la liaison la plus directe du Katanga à l'océan Atlantique.
Afb. 3 - Brief van
Brussel (6.XI.1934)
naar Elisabethvílle
(3.XII.1934).
Speciaal tarief
(5.I.1927) voor
Congo is 1,50 fr. (tot
20 g) + 0,90 fr. / 20 g.
Brief tussen 20 en 40
g. = 2,40 fr.
Figure. 3 - Lettre
expédiée de Bruxelles
(6.XI.1934) à
destination
d’Elisabethville
(3.XII.1934). Le tarif
spécial (5.I.1927)
pour le Congo est de
1,50 fr. (jusqu'à 20 g)
+ 0,90 fr. / 20 g.
Lettre entre 20 et 40
g. = 2,40 fr.
Op talrijke kaarten – ook nog na WO I (o.a. in “Mouvement Géographique” van 28.11.20) - vinden we
een spoorlijn Stanleyville – Gondokoro die als rechtstreekse verbinding tussen Congo en Nijl gepland
was door Leopold II. Na de teruggave van de Lado-enclave aan Soudan in 1912 was deze niet langer
prioritair.
Sur de nombreuses cartes - même après la Première Guerre mondiale (y compris dans "Mouvement
Géographique" du 28.11.20) - on trouve une ligne de chemin de fer Stanleyville - Gondokoro qui a été
prévue par Léopold II comme une liaison directe entre le Congo et le Nil. Après le retour de l'enclave de
Lado au Soudan en 1912, ce n'était plus une priorité.
Gallant besluit op p. 264/5 :’ : Le chemin de fer est resté un moyen de transport excellent, aussi bien pour
les envois postaux que pour les voyageurs, parce que le train, mieux que n'importe quel autre moyen de
communication, est capable de transporter un volume important sur une grande distance en peu de temps,
à des conditions avantageuses. Tous les envois postaux amenés au Congo ou réexpédiés à l'étranger par la
voie de la surface empruntèrent le chemin de fer sur une distance qui, dans bien des cas, dépassa 2.000
km. « … “Le transport de courrier par la voie ferrée se fit comme par la voie d’eau, gratuit ;
l’acheminement des collis postaux fut rémunéré. ».
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