Page 7 - Journal Culturel de Metz - 2014-05
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Fiche technique : 31/01/1992 - retrait : 30/11/1992 - Préoblitérés : TP surchargé d'une oblitération :
un arc de cercle marqué "AFFRANCHts – POSTES" - série : les instruments de musique : La Harpe
Création : Charles BRIDOUX - Impression : Offset - Support : Papier gommé
Format du timbre : V 20 x 26 mm (17 x 23) - Présentation : 100 TP / feuille (avec coins datés)
Emission (IV) : 31/01/1992 - retrait : 30/11/1992 - Faciale : 3,19 F
Gris-brun et noir - 12 x 12 ou Gris-brun clair et noir - 13 x 13
Remarque sur les 3,19 F : erreur de date "1991" sur les TP
Fiche technique : 29/01/2007 - retrait : 00/00/2007 - Carnet : Antiquités
Antiquité égyptienne - la stèle du harpiste - 3ème Période Intermédiaire
Mise en page : Sylvie PATTE et Tanguy BESSET - Impression : Offset
Support : Papier auto-adhésif - Couleur : Polychromie
Format carnet : H 256 x 54 mm - Dentelures : Ondulées
Format des timbres : 10 TVP - H 38 x 24 mm (33 x 20)
Barres phosphorescentes : 2 - Faciale : 10 TVP (à 0,54 €)
Lettre Prioritaire jusqu'à 20g - France
Présentation : Carnet à 3 volets, angles arrondis, 10 TVP autoadhésifs
Valeur du carnet : 5,40 € - Tirage du carnet : 7 000 000
Stèle religieuse : provenant d'un tombeau de la région de Thèbes, cette stèle représente un défunt, (que les hiéroglyphes surmontant la scène
qualifient de "chanteur d'Amon"), jouant sur une harpe cintrée à tête de pharaon, en signe de vénération, devant le dieu Rê-Horakhty.
Figuré sous la forme d'un homme à tête de faucon surmontée du disque solaire, lui-même entouré par un uræus (le cobra protecteur, symbole de la royauté),
ce dernier résulte de l'association de Rê avec Horakhty, dieu du Soleil levant adoré à Héliopolis et assimilé à Horus.
Il représente le Soleil dans sa course diurne à travers le ciel, plus précisément lorsqu'il est à son zénith.
Support : bois peint - h : 29,50 cm - l : 22,40 cm - pr.: 2 cm - entre 1069 et 664 av. J-C. - Département des Antiquités égyptiennes, musée du Louvre, Paris
Fiche technique : 01/02/2010 - retrait : 00/00/2010 - Carnet : la Musique des Timbres
La harpe, un concert par le peintre du romantisme, François André Vincent (1746-1816)
Mise en page : Sylvie PATTE et Tanguy BESSET – d´après photo : © RMN / Agence Bulloz
aquarelle - musée de Picardie à Amiens.
Impression : Héliogravure - Support : Papier auto-adhésif - Couleur : Polychromie
Format carnet : V 54 x 256 mm - Format des timbres : 12 TVP - V 24 x 38 mm (20 x 33)
Dentelures : Ondulées - Barres phosphorescentes : 2
Faciale : 12 TVP (à 0,56 €) - Lettre Prioritaire jusqu'à 20g - France
Présentation : Carnet à 3 volets, angles arrondis, 12 TVP autoadhésifs
Valeur du carnet : 6,72 € - Tirage du carnet : 7 000 000
François-André Vincent (1746-1816),
considéré comme le chef de l'école néoclassique et précurseur du romantisme
Après une formation académique à Paris puis à Rome, Vincent revient en France en 1777. Il connaît un succès considérable en cette fin
d’Ancien Régime et est le seul grand rival de David qui finira par le supplanter peu avant la Révolution. Pendant la Révolution
et sous le Premier Empire il continue de recevoir des commandes officielles en parallèle de sa production de portraits.
Les sujets, très variés, sont novateurs et souvent annoncent le courant romantique. Vincent fut également un dessinateur exceptionnel et prolifique.
5 mai : Carnet pour des Vacances au choix, à la Mer, à la Montagne où à la Campagne
Ce carnet plein d’humour est émis pour accompagner les vacanciers qui ne se priveront pas de faire participer leurs proches à leurs joies et détentes
en leur envoyant un courrier illustré, coloré et plein d’humour.
Couverture des trois volets du carnet : une reprise des personnages, dans les situations illustrant les vacances individuelles ou familiales .
Henri GALERON est né le 4 déc. 1939 à St-Etienne-du-Grès (Alpilles), dans les Bouches-du-Rhône (13).
Il apprend à dessiner en faisant l'école buissonnière et plus tard il entre à l'École des beaux-arts
de Marseille, avec à la clef, son diplôme national en 1961. En 1967, il entre aux éditions Nathan à Paris
et assure la direction artistique des jeux éducatifs de 1972 à 1974, date à laquelle il devient indépendant,
et publie "Le Kidnapping de la cafetière", à New-York chez l'éditeur Harlin Quist
qui sera suivi de nombreux autres. Depuis, il illustre des livres pour de nombreuses éditions.
Il obtient le Prix Honoré en 1985 et se voit dédier une monographie par François Vié
"Henri Galeron, une image à l'envers, une image à l'endroit" aux éditions Gallimard.
Il enseigne l'illustration à l'école Emile-Cohl de Lyon (1987 à 1990).
Parallèlement, il conçoit de nombreuses couvertures pour Folio, le Livre de Poche, etc…
des affiches de spectacles, des couvertures de magasines, des C.D. et des séries de Timbres-poste.
La gente animale est très présente dans ses réalisations - voir son site : www.henri-galeron.com
En philatélie : 05/1997 : 6 timbres, Les Journées de la Lettre " Le voyage d'une Lettre"
11/1997 : "Meilleurs Vœux" du facteur. - 05/1998 : 6 timbres, Les Journées de la Lettre
"la lettre au fil du temps" - 11/2000 : "Fêtes de fin d'année" au profit de la Croix-Rouge française
05/2002 : TP Rocamadour (Lot-46) - 02/2011 : carnet de la Fête du Timbre ""Le timbre fête la Terre"
(il a réalisé 3 des timbres : plantation jeune arbre, arbre aux fruits et plante contenant la terre)
Henri Galeron : "Un pas comme les autres, qui peint dans les nuages" (Jean-Pierre Siméon).

