Page 7 - Journal Culturel de Metz - 2017-10
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Fiche technique : 22/10/2012 - retrait : 05/07/2013 – Bloc-feuillet de 6 TP – les Actrices et Acteurs du cinéma français. – Mise en page : Paul-Raymond COHEN
d'après photos diverses - Impression : Héliogravure - Support : Papier gommé - Couleur : Quadrichromie - Format bloc-feuillet : H 143 x 135 mm - Format TP : H 40 x 26 mm
(36 x 22) - Dentelure : 13 x 13 - Faciale des 6 TP : 0,60 € - Prix de vente : 3,60 € + 2,00 € de surtaxe au profit de la C.R.F. - Présentation : Bloc-feuillet de 6 TP indivisibles
Tirage : 1 000 000 - Visuel : les portraits en "noir et blanc" des 6 actrices et acteurs, et dans le fond de bloc-feuillet, l'image d'un extrait du film "Les temps modernes" (1936),
film de Charles Spencer Chaplin, dit Charlie Chaplin (1889-1977, acteur, réalisateur, compositeur, scénariste et producteur).
Plusieurs actrices, acteurs, comédiens, metteurs en scène, au théâtre, comme du cinéma, ont bénéficié d'une émission, à titre personnel :
16/05/1945 : Rosine Bernard, dite Sarah Bernhardt (1844-1923, actrice) – 22/10/1973 : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (1622-1673, dramaturge et acteur de théâtre)
30/08/1977 : Mounet-Sully (1841-1916, acteur et tragédien) - 15/06/1981 : Louis Jouvet (1887-1951, acteur, metteur en scène et directeur de théâtre)
12/11/1986 : Charles Dullin (1885-1949, metteur en scène, acteur de théâtre et cinéma) - 18/06/1990 : Maurice Chevalier (1888-1972, chanteur et acteur)
18/06/1990 : Tino Rossi (1907-1983, chanteur et acteur) - 08/06/2001 : Jean Vilar (1912-1 71, acteur de théâtre et cinéma, créateur du Festival d’Avignon) – et d'autres.
16 octobre : Timbres de service : Conseil de l’Europe à Strasbourg (67-Bas-Rhin)
Les 30 ans d’Itinéraires Culturels du Conseil de l'Europe, lancé le 23 oct.1987, actualisé 17 mars 1998 par la création de "l’Institut Européen des Itinéraires Culturels",
puis réactualisé en oct.2007 et déc.2013, sont illustrés sur le timbre-poste français, par "la coquille" représentant les Chemins de Saint- Jacques de Compostelle (premier
itinéraire culturel certifié), et trois autres photos, symboles de la Gastronomie (les "Routes de l’Olivier"), du Paysage culturel (les Chemins de l’art rupestre préhistorique)
et de l’Architecture (les sites clunisiens en Europe). La certification de ces "Itinéraires Culturels Européens" garantit l’excellence de réseaux transnationaux, mettant
en valeur des parcours de découvertes Historiques, Culturelles, Patrimoniales et Sociales, d'une cinquantaine de pays. Les thèmes sont très variés :
les paysages, les architectures, les influences religieuses, les grandes figures européennes, les sciences, les technologies, les gastronomies, etc…
Fiche technique : 16/10/2017 - réf. 11 17 350 - Timbre de service du Conseil de l’Europe Timbre à date - P.J. : 13.10.2016
30 ans d’Itinéraires Culturels, de "l’Institut Européen des Itinéraires Culturels", lancés en 1 87. Strasbourg (67-Bas-Rhin)
Mise en page : Stéphanie GHINÉA - d'après photos : Photos Shutterstock / Cultural Routes networks / EICR au Conseil de l'Europe
Impression : Offset - Support : Papier gommé - Couleur : Quadrichromie - Format TP : V 26 x 40 mm (22 x 36) à partir du16.10.2017
Dentelure : __ x __ - Barres phosphorescentes : 2 - Faciale : 1,10 € - Lettre Prioritaire Internationale, au Carré d'Encre (75-Paris)
jusqu'à 20g, Europe - au départ du Conseil de l'Europe - Présentation : 50 TP / feuille - Tirage : 250 000
Visuel : les 30 ans d’Itinéraires culturels sont illustrés par quatre "Itinéraires Culturels" :
- Les "Chemins de Saint-Jacques de Compostelle", premier itinéraire culturel, certifié en 1987.
- Les "Routes de l’Olivier", symbole de la "Gastronomie".
- Les "Chemins de l’Art Rupestre Préhistorique", symbole du "Paysage Culturel".
- Les "Sites Clunisiens en Europe", symbole de "l’Architecture romane" (Cellier du Farinier - Cluny XIIIe s.).
Le logo de certification : l'Institut Européen Conçu par : par repiquage
des Itinéraires Culturels (IEIC) a son siège Attention : TàD de service C.E.
Un Itinéraire Culturel du Conseil de l'Europe, ne constitue pas nécessairement, un chemin phdyasnisqluaevdilelsetidneéLàuêxtreemabropuerngté, ,dmepauisisp1e9u7t7p,rendre la forme d’un réseau thématique
incluant des acteurs de la culture, tels que des musées ou des collectivités territoriales, regrdoaunpsésl'aanuciseeninneda’bubnaeyaesdsoecNiaetuiomnü.nUstneer f(o1i5s4a2c, cordée, la certification ouvre la voie
à une plus grande visibilité, à de nouveaux partenaires dans le domaine de la culture voirreecoàndstersuiftieneann1c6e0m6eentt1s6. 8A8,nOotredrreégdealSemt-Benentoqîut)e. le programme dépend du Conseil
de l’Europe et non de l'Union Européenne, bien que celle-ci contribue au programme. Les Itinéraires Culturels couvrent une étendue géographique qui dépasse donc
les frontières de l’Union Européenne et du Conseil de l'Europe en s'étendant parfois jusqu'en Afrique du Nord ou au Moyen-Orient.
La certification de nouveaux Itinéraires culturels et l'évaluation de la conformité des Itinéraires culturels est assurée par "l'Accord Partiel Elargi" sur les Itinéraires
Culturels (APE), crée en déc.2010, par le Comité des ministres du Conseil de l’Europe. Cet accord vise à faciliter l'organisation et le financement du programme.
Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, dont le but est d'atteindre le tombeau attribué à l'apôtre Jacques, fils de Zébédée (Saint Jacques le Majeur, 1er s. - décès en 44),
situé dans la crypte de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en Galice (Communauté autonome, à l'extrémité Nord-Ouest de l'Espagne).
Pendant des siècles, les pèlerins ont pu découvrir de nouvelles traditions, de nouvelles langues
et de nouveaux modes de vie et sont retournés chez eux avec une riche identité culturelle, phénomène
rare à une époque où les voyages de longue distance exposaient le voyageur à de grands dangers.
Le logo européen a été établi par les graphistes espagnols Macua et Garcia-Ramos à la demande
du Conseil de l'Europe. Cet emblème jaune sur fond bleu sert au balisage des Chemins de Compostelle.
Les Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle ont été évoqués par la série
de bloc-feuillet émise sur 4 ans : 1er bloc-feuillet le 30 mars 2012.
Fiche technique : 02/04/2012 - retrait : 25/01/2013 – Bloc-feuillet de 4 TP
Série - les Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle - volet 1/4
Les édifices religieux des villes de départs des quatre voies principales :
- Via Turonensis - Paris (75), la Tour Saint-Jacques.
- via Lemovicensis - Vézelay (89-Yonne), la basilique Sainte-Marie-Madeleine.
- via Podiensis - Le Puy-en-Velay (43-Hte-Loire), vue générale, cathédrale
N-D-de-l'Annonciation et la statue de Notre-Dame sur le Rocher Corneille.
- via Tolosana – Arles (13-Bouches-du-Rhône), cloître et basilique
Saint-Trophime, la voie traverse les Pyrénées par le col du Somport.
Création et gravure : André LAVERGNE - d’après photos diverses
Impression : Mixte Offset / Taille-Douce - Support : Papier gommé
Couleur : Quadrichromie - Format du bloc : H 143 x 105 mm - Dentelures 4 TP :
13 x 13 - Format des timbres : 2 TP - H 40 x 26 mm (36 x 22)
2 TP - V 26 x 40 mm (22 x 36) - Barres phosphorescentes : 2 (sur chaque TP)
Faciale des 4 TP : 0,77 € - Présentation : Bloc de 4TP indivisibles
Prix de vente du bloc-feuillet : 3,08 € - Tirage : 1 700 000
Visuel du fond du bloc-feuillet : basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay -
allégorie d'un chapiteau de la nef : le "Moulin mystique" - le Christ représente
le moulin, Moïse l'alimente avec du grain, symbolisant l’ancienne alliance,
Paul récupère la farine, symbolise la nouvelle alliance (sculpté v. 1130).
La "Coquille de Saint Jacques" : que les jacquets ramenaient des côtes de la Galice était une preuve de leur long périple. Depuis l'Antiquité on portait des coquillages
pour se préserver du mauvais sort et de toutes sortes de maladies. Pour des raisons symboliques, la coquille s'est imposée comme attribut de l'apôtre et a donc pris le nom
de Saint Jacques. Accrochée sur le chapeau, sur le sac ou sur la cape, elle va devenir l'emblème des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle et aussi de tous les pèlerins.
Elle permettait de se distinguer des autres voyageurs, elle avait un pouvoir protecteur, et permettait aussi de boire dansles fontaines ou de demander l'aumône
car à la vue de la coquille, la charité devenait un acte obligatoire. C'est ainsi que depuis, les pèlerins accrochent une coquille à leur sac ou à leur bâton.
Le "bourdon" du pèlerin : lorsqu'on observe les reliques, Saint-Jacques est toujours représenté avec un bâton à ses côtés. Au Moyen-âge, le "bourdon" était ainsi l'unique
compagnon de route. Ce bâton était d'une aide précieuse pour la marche, mais il servait aussi à se défendre .... C'est grâce à lui que les pèlerins parvenaient à repousser les
brigands et à braver les animaux sauvages. C'était un prêtre qui remettait le bâton aux jacquets, qui le faisaient bénir, avant de quitter le village pour se rendre à Santiago.
Le véritable "bourdon du pèlerin" est en 2 parties : il y a le pommeau composé de deux boules en bois, situées à chaque extrémité de la poignée : l'une sur laquelle
le pèlerin pose sa main lorsqu'il marche, l'autre pour bénéficier d'un bon appui lorsqu'il veut se poser. La seconde partie, le fût est équipé, à son extrémité, d'une pointe.