Page 25 - Journal Culturel de Metz - 2013-04
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Fiche technique : 09/03/2012 - Journée de la femme 2012 - Portrait de Madeleine Bernard (détail), œuvre de Paul Gauguin (Musée de Grenoble)
Mise en page : Etienne THÉRY © RMN / Agence Bulloz. - Impression : Héliogravure - Support : Papier autoadhésif (TP du carnet de 12 timbres)
Couleur : Polychromie - Format du carnet : H 256 x 54 mm - Format des timbres : 12 TP - V 24 x 38 mm (20x34) - Dentelures : Ondulées
Bandes phosphorescentes : 2 - Valeur faciale : Lettre Prioritaire 20g France (TVP)
Particularité : sur le tableau Portrait de Madeleine Bernard de Paul Gauguin, le visage de Madeleine Bernard est à l'origine
tourné vers la gauche tandis que sur le visuel du timbre, elle se tient le visage tourné vers la droite. Pour quelle raison ?
De très nombreux timbres rendent hommage à cet artiste, en France Y&T 1568, 3207, 3875, et surtout en Polynésie Française.
Théo Van RYSSELBERGHE - L'homme à la barre : Paris, musée d'Orsay © RMN (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski
Né à Gand (Belgique) le 23 novembre 1862 et mort à Saint-Clair au Lavandou (France - 83 -Var ) le 13 décembre 1926.
Peintre belge, connu pour avoir été l'un des principaux représentants du divisionnisme en Belgique. Il a fait partie du deuxième courant pointilliste,
de l'école de Laethem Saint Martin. Il est, avec William Degouve de Nuncques, Henry de Groux, Fernand Khnopff, James Ensor, Félicien Rops,
Henry Van de Velde, l'un des membres du Groupe des XX, cercle artistique d'avant-garde fondé en 1883 par Octave Maus et basé à Bruxelles.
En 1886, il voyage à Paris, il y découvre la toile de Georges Seurat "Un dimanche après-midi à l'île de la Grande Jatte" (île sur la Seine
avec ses guinguettes, le rendez-vous des artistes). Il est conquis par le néo-impressionnisme et il devient le plus ardent défenseur de cette peinture
en Belgique. Avec une fidélité instinctive au réel, il ne cède pas à la stylisation qu'impose la technique pointilliste, d'où une contradiction flagrante
entre l'esprit et les moyens de son art, surtout dans les portraits, comme ceux de Madame Maus (1890, Bruxelles, Musées royaux des beaux-arts)
ou d'Emile Verhaeren (1915, musée d'Orsay). Petit à petit l'artiste s'engage dans les arts décoratifs. A partir de 1895, il crée des affiches,
des meubles et de vastes compositions à résonance sociale, comme L'Heure embrasée (1897), puis s'installe à Paris en 1898. Il y fréquente
les milieux littéraires symbolistes, se lie à André Gide, participe aux expositions des Indépendants et incite les peintres fauves à exposer
au Salon de la Libre Esthétique (qui prend la suite du Groupe des XX) en 1906. En 1910, il s'installe dans le Var. Il y meurt en 1926.
Belgique : émission 13/15 avril 2013
Carnet de 10 TP - création : Myriam VOZ
Offset - autoadhésif - TP 36 x 27 mm
80 x 168 mm (plié : 80 x 65 mm) - dent. 8
carnet : 6,70 € (10 TP de tarif 1 Belgique)
Théo van Rysselberghe (1916)
Le timbre du carnet de La Poste Française, a déjà fait l'objet d'une émission en Belgique le 13 juin 1992 à Nieuwpoort
Autre hommage rendu au peintre Théo van Rysselberghe par une émission commune Belgique et Luxembourg le 2 mars 1996.
visuel de la carte : la Fondation d'Emile Mayrisch à Colpach (Luxembourg) - 1 TP Français lui rend hommage 1963 / Y&T 1385 à 20 c
Théo Van Rysselberghe - L'Homme à la barre - musée d'Orsay La fondation au Luxembourg et Émile Mayrisch (1862/1928)
Belgique 1892 - peinture à l'huile sur toile - 80,3 x 60,2 œuvre du peintre Rysselberghe + TàD à son effigie
Théo Van Rysselberghe
Pointillisme / Néo-impressionnisme
Famille dans le jardin fruitier
huile sur toile1890
163 x 116 cm
Paysage du Midi
huile sur toile 1895
24 x 19 cm

