Page 21 - Journal Culturel de Metz - 2013-04
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Classée monument historique en 1840. La nef, avec ses grandes arcades et ses fenêtres hautes, est exécutée en un seul jet.
L'édifice est couvert d'une charpente, des tours encadrent la naissance du chevet dès le début du XIe siècle, comme à Saint-Germain des Prés.
Le chœur est à nouveau édifié à partir de 1161 et consacré en 1198. Les parties hautes de la nef et du chevet sont ornées d'une série
de chapiteaux sculptés de bouquets de palmettes et de sirènes-oiseaux typiques du premier art gothique (Sens, Saint-Germain des Prés).
La tour Sud est restaurée entre 1515 et 1524. L’emblème de François Ier, la salamandre, est encore visible face Ouest, ainsi que
l’initiale de la reine Claude de France. Les chanoines sont dispersés en 1790, les flèches sont déposées et la rose occidentale murée.
La collégiale devient un entrepôt et une salle de réunion, avant d'être rendue au culte et érigée en église paroissiale en 1796.
Elle est dégagée en 1850 de l'enceinte de la prison dans laquelle elle était enclavée depuis 1811.
Lors des restaurations menées de 1853 à 1859, les tours sont remontées et à nouveau couvertes de flèches.
A partir du 21 mars, l’ANODA et la ville de Melun vous proposeront des animations : conférences, spectacles, concerts, expositions qui se succéderont jusqu’au mois
de septembre. Aller visiter le site de l’ANODA (les Amis de le Collégiale Notre-Dame de Melun), vous y trouverez l’agenda et de nombreux documents.
Fiche technique : 22/04/2013 - réf. 11 13 042 Timbre à date
Création et gravure : Eve LUQUET Premier Jour du 20 & 21.04.2013 - Melun (77-Seine-et-Marne) + Paris (75)
D’après photo : de l'Office du Tourisme de Melun
Impression : Taille-Douce
Support : Papier gommé
Couleur : Polychromie
Format du timbre : H 40,85 x 30 mm (36,85x26)
Dentelure : 13 x 13
Bandes phosphore : 2 barres
Présentation : 48 timbres à la feuille
(8 bandes de 6 TP)
Valeur faciale : 0,63 €
(Lettre Prioritaire jusqu'à 20g France)
Tirage : 1 500 000 conçu par : Eve LUQUET
Carnet avant et après " Impressionnisme et Eau " 29 avril
De Pissarro, en passant par Monet ou Renoir, ces peintres ont su créer des “impressions”,
représentations fugitives d’un instant, d’un personnage, d’un site naturel. Ils ont ainsi magnifié l’eau dans ses états passagers,
ses ombres, ses lumières offre une magnifique traversée d’œuvres maitresses des peintres impressionnistes.
Couverture : Avant et après " L’impressionnisme - le thème de l’Eau " des œuvres conservées dans les musées français
Louis-Eugène BOUDIN - Pécheurs sur la grève : Paris, musée d'Orsay, conservé au musée du Louvre © RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Michèle Bellot
Louis-Eugène BOUDIN - La jetée de Deauville : Paris, musée d'Orsay © RMN Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowskires et ses recoins secrets.

