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Fiche technique : 04/09/2024 - Référence : 21 24 880 - série des Riches Heures de l'Histoire de France de la Préhistoire à l'An 1000 - Émission 1/5.
                       avec le feuillet cadeau 2024 : la Vénus de Brassempouy / la "Dame de Brassempouy", ou "Dame à la capuche" (40-Landes).
       Création des lignes graphique : Sylvie PATTE & Tanguy BESSET - Impression : Taille-Douce - Support : Papier gommé - Couleurs d'origine : jaune, brun et noir. - Format : V 40,85 x 52 mm
      (36 x 48) - Dentelure : 13 x 13 - Faciale : 5,00 €- . Présentation : 1 TP / bloc feuillet - Tirage : 10 000   -   Visuel : la "Dame de Brassempouy": un fragment de statuette en ivoire de mammouth
         découvert en 1894, lors de fouilles d'Édouard PIETTE (1827-1906, préhistorien) et Joseph de LAPORTERIE (1850-1935,archéologue et historien) dans la "Grotte du Pape" à Brassempouy
        (proche de Dax, 40-Landes). -  Caractéristiques : statuette d'ivoire de petites dimensions Ht. 3,65 x larg.1,9 x long. 2,2 cm, datant du Paléolithique supérieur  (le Gravettien, v.- 28 000 ans),
       représentant une tête de femme. Cette statuette est considérée comme la plus ancienne sculpture ayant pour sujet un visage humain. Elle est conservée au Musée d'Archéologie Nationale
                                                  à St-Germain-en-Laye (78-Yvelines).


                                                                                 "Vénus de Brassempouy" / "Dame de Brassempouy",
                                                                                       ou "Dame à la capuche"  (40-Landes)
























                                                                                 L'une des plus célèbres œuvres d’art du paléolithique.


           Fiche technique : 08/03/1976 - Retrait : 14/01/1977 - série artistique : la Vénus de Brassempouy / la "Dame de Brassempouy", ou "Dame à la capuche"  (40-Landes).
        Dessin et gravure : Georges BÉTEMPS - Impression : Taille-Douce - Support : Papier gommé - Couleurs : Jaune, brun et noir. - Format : V 40,85 x 52 mm (36 x 48) - Dentelure : 13 x 13.
            Faciale : 2,00 F. - Présentation : 25 TP / feuille - Tirage : 6 000 000.       -       Visuel : la Dame, ou Vénus de Brassempouy : un visage triangulaire, au dessin large et court,
        montre un cou gracile, les pommettes hautes et les arcades accentuées se raccordent à un nez fin et rectiligne ; la bouche est absente et les yeux enfoncés semblent dérober le regard.
         La coiffure a parfois suggéré le nom de "Dame à la capuche" ; mais on retrouve au cours des siècles, en particulier dans la statuaire archaïque grecque, une chevelure semblable,
                     avec un quadrillage d'incisions plus ou moins marquées, où l'historien de l'art décèle un art de la symétrie et un goût de l'abstraction.













       Fiche technique : 22/04/1985 - Retrait : 11/10/1985
          série commémorative : quinzième centenaire
        de l'Abbaye de Landévennec 485-1985 (29-Finistère)
       Dessin et gravure : Marc DAUTRY - Impression : Taille-
       Douce - Support : Papier gommé - Couleurs : Vert et violet
        Format : H 40 x 26 mm (36 x 22) - Dentelure : 13 x 13
       Faciale : 1,70 F - Présentation : 50 TP / feuille - Tirage :
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       7 000 000   -   Visuel : l’abbaye au XVII  siècle, planche
      gravée du Monasticon Gallicanum (collection de 168 planches
       topographiques gravées des 147 monastères de l'ordre de Saint-
        Benoît) + Musée de l’abbaye : un fragment de l'église
        abbatiale romane du X  siècle, avec l'un des chapiteaux
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        à entrelacs, en granite.  Etat actuel : les vestiges de l'ancienne
      abbaye son classés à l'inventaire des M.H. depuis le 26 mai 1992.

         Ils sont, avec le musée historique, accessibles au public.

                                                L'abbaye Saint-Guénolé de Landévennec est une abbaye située en Cornouaille
                                                                                e
                                                (presqu’île de Crozon). Elle est réputée avoir été fondée au V  siècle par saint
                                                Guénolé, ce qui en fait une des plus anciennes et plus importantes de Bretagne.
                                               L'historien Arthur Le Moyne de la Borderie l'a qualifiée de "Cœur de la Bretagne"
                                                  Abandonnée en 1793 et ruinée dans les années 1810, elle est relevée par
                                                 une nouvelle communauté monastique bénédictine en 1958, qui y construit
                                                   de nouveaux bâtiments. Elle est affiliée à la congrégation de Subiaco.

                                                Gwenolé (Saint-Guénolé) : il serait né v.485 à Plofragan (Plouifragan) et décédé
                                                v. 532 à Landévennec. Descendant de moines bretons chassés de Grand Bretagne
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                                                  aux V  et VI  siècles, ils se sont installés en Armorique et la règle qu'ils
                                                      observaient leur venait de la tradition celtique irlandaise.

                                                 En 818, Louis le Pieux, au cours d'une campagne punitive, impose à l'abbaye
                                               la règle de Saint Benoît. Elle y gagnera d'ailleurs d'avoir pris part au grand courant
                                                  de la Renaissance carolingienne. Puis en 913, les Normands, envahissant

                                                la province, détruisent le monastère, tandis que les moines s'exilent à Montreuil-  L'un des chapiteaux à entrelacs,
                                                                                      e
                                                 sur-Mer. L'apogée du rayonnement de Saint-Guénolé se situe à la fin du XI  siècle,   en granite, de l'abbatiale romane
                                                                                                e
                                                  lorsque s'édifie la belle église romane dont on voit encore les ruines.   (X  siècle) exposé dans le musée.
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