Page 2 - Journal Culturel de Metz - 2019-06
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Fiche technique : 08/03/1999 - retrait : 10/10/1999 - Carnet Journée du Timbre 1999
"Astérix" - TP : Astérix et le chien Idéfix + vignette avec Astérix, Obélix et Idéfix.
Création graphique et mise en page : Albert UDERZO © 1999 - Editions Albert René /
Goscinny - Uderzo.- Impression : Héliogravure. - Support : Papier gommé - Couleur :
Polychromie - Format carnet : H 185 x 70 mm - Format 12 TVP : V 24 x 38 mm
(20 x 33). Dentelures : Ondulées - Barres phosphorescentes : Non
Faciale : 4 TP à 3,00 F + 3 TP à 3,00 F + 0,60 F (au profit de la C.R.F. + une vignette
Prix de vente : 22,80 € - Présentation : Carnet 2 volets avec 7 TP + 1 vignette, sans valeur
faciale - Tirage : 1 020 766. - Visuel : timbre et vignette du carnet "Astérix".
24 janv. 2010 : La Poste et des Editions Albert René éditent un ouvrage philatélique :
"Le timbre voyage avec... Astérix" - il contient 6 feuillets gommés présentant
les timbres édités pour les 50 ans d'Astérix, chacun ayant sa particularité : le plus lourd,
le plus glamour, le plus petit, le plus long, le plus silencieux... le tout complété
par le ''timbre d'or'' du bloc-feuillet de l'anniversaire. La préface est signée de Sylvain
Augier, les textes sont d'Olivier Andrieu. Les chapitres sont articulés autour du voyage ;
avec les personnages rencontrés et les moyens utilisés dans la série des bandes dessinées.
Fiche technique du bloc : 03/12/2009 - Retrait : 24/09/2010 - série commémorative :
les 50 ans d'Astérix, en un bloc-feuillet de 6 TP, aux formes particulières.
Création graphique : Albert UDERZO © 2009 les éditions Albert René / Goscinny -
Uderzo - Impression : Héliogravure - Support bloc-feuillet : Papier gommé - Couleur :
Polychromie - Format bloc : V 135 x 143 mm - Formats TP : divers et particuliers
Dentelure : diverses - Barres phosphorescentes : Non - Faciale 6 TP : 0,56 €
Présentation : 6 TP (vente indivisible) - Prix de vente : 5,20 € (dont 1,84 € au profit
de la C.R.F.) - Tirage : 1 700 000 - Visuel : les personnages principaux de la série,
avec le plus petit timbre émis, "Idéfix", mais également le plus gros "Obélix"
et son menhir recouvert de poudre de pierre, un TP en "sesterces", quelques TP
de "gaulois"... et peut-être le secret de la potion magique (et autres micro texte)
sur le TP de la distribution de boisson énergisante, du druide Panoramix.
Fiche technique : 06 au 08/03/1987 - Bloc-feuillet CNEP - Salon Philatélique de Printemps à Dijon - Bourgogne 1987
Création : CNEP © 1987 - Editions Albert René / Goscinny - Uderzo - Impression : Taille-Douce - Support : Papier gommé - Couleur :
Polychromie - Format : H 85 x 80 mm - Présentation : Bloc-feuillet numéroté + Logo CNEP - Prix de vente : ____ - Tirage : 70 000
Visuel : blason de Bourgogne-Valois perforé (TP armoiries de provinces du 11/05/1949 - Bourgogne - Robert LOUIS et Jules PIEL
Typographie rotative - 0,10 f - V 18 x 21 mm - 100 TP/feuille) - Astérix et Obélix, avec son ménhir, sur un char (currus), passant devant
le bureau de poste d'Alésia "Posta Alesia", au milieu des vignobles de Bourgogne.
Fiche technique : 27/11/2015 - réf. 11 15 033 - Série commémorative : lancement du premier satellite Logo des 50 ans du lancement
français A-1 "Astérix" le 26 nov. 1965 à 15h 47mn 21s (heure de Paris) à Hammaguir (Algérie, jusqu'en
1967) - Création : Damien CUVILLIER - d´après photos : © CNES - Mise en page : Marion FAVREAU
Impression : Héliogravure - Support : Papier gommé - Couleur : Quadrichromie - Dentelure : 13¼ x 13¼
x 13¼ - Format - premier TP Triangulaire : 40,85 x 40,85 x 57,78 mm - Barres phosphorescentes : Non
Faciale : 0,68 € - Lettre Verte, jusqu'à 20g – France - Présentation : 60 TP / feuille - Tirage : 1 200 000
Visuel : le satellite "Astérix" - la feuille suggère un "ciel étoilé" + les plans techniques du lanceur.
Le nom du satellite était à l'origine A-1 (A pour armée). Après la réussite du lancement, il fut renommé
Astérix en l'honneur du héros de la bande dessinée Astérix le Gaulois (29 oct.1959). Le premier satellite
lancé par la fusée Ariane, le 24 décembre 1979 fut surnommé Obélix. Il pesait 1 600 kg. Son nom officiel
était CAT-1 (Capsule Ariane Technologique).
03 juin 2019 - Château de Chambord - 500 ans
Chambord accueille un château fortifié destiné aux comtes de Blois, dès la fin du haut Moyen-âge au Xe siècle. Ce château passe de la maison de Châtillon, à celle des ducs
d'Orléans en 1397, avant d'être rattaché à la couronne de France, lorsque Louis d'Orléans devint Louis XII (règne du 7avril 1498 au 1er janv.1515), le petit château fort étant déjà
à cette époque une maison de plaisance et de chasse. En 1516, François Ier (règne du 1er janv.1515 au 31 mars 1547), roi de France depuis 1515, auréolé de sa victoire à la bataille
de Marignan (13 et 14 sept.1515, à Melegnano, Italie), décide la construction d'un palais à sa gloire, à l'orée de la forêt giboyeuse de Chambord. Le désir du roi est de réaliser
une ville nouvelle à Romorantin (Val de Loire), et à Chambord un grand édifice dans le style néoplatonicien (doctrine philosophique). Le projet se nourrit de l'humanisme
polymathe Léon Battista Alberti (fév.1404-avril 1472, philosophe, écrivain, mathématicien, théoricien de la peinture et de la sculpture), qui a défini les principes de "l'Art d'édifier"
soit la Première Renaissance, dans son "Traité De re aedificatoria", inspiré de l'architecte romain Marcus Vitruvius Pollio, dit Vitruve (v.90 à v.20 av. J.-C.).
Il repose sur la géométrie, les rapports mathématiques et la régularité. Le 6 sept.1519 est l'acte de naissance de Chambord lorsque François Ier donne commission
à François de Pontbriand (v.1445-sept.1521) son chambellan, d'ordonner toutes les dépenses qu'il y aurait à faire pour la construction du château.
Le projet primitif ne présente qu'un château-donjon accolé au milieu d'un des grands
côtés d'une enceinte rectangulaire, le donjon étant un corps cantonné sur tous les étages
de quatre tours rondes et à chaque étage cantonné de quatre salles formant une croix.
Les archives sur la genèse du plan de Chambord ne sont pas conservées, mais il est
probable que Leonardo di ser Piero da Vinci, dit Leonardo da Vinci (avril 1452-mai 1519,
peintre, scientifique, ingénieur, etc…) installé à Amboise à la fin de l'année 1516, y fut associé,
ainsi que Domenico Bernabei da Cortona, dit Boccador (v.1465-1549, architecte et ingénieur).
Les travaux débutent par la destruction de plusieurs bâtiments, dont l'ancien château des
comtes de Blois et l'église du village et par la réalisation des fondations du donjon carré
flanqué de quatre tours ; unique bâtiment prévu à l'origine. Les travaux sont interrompus
entre 1525 et 1526, durant la défaite de la bataille de Pavie (24 fév.1525) et l'incarcération de
François 1er en Espagne, jusqu'au traité de Madrid, le 14 janv.1526. A la reprise des
travaux, le projet est modifié par l'adjonction de deux ailes latérales au donjon primitif.