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"par Toutatis !" : un juron marquant la surprise, en rapport avec le Dieu guerrier celte "Toutatis" (ou Teutatès, dieu de l'épopée Pharsale, ou guerre civile,

écrite par le poète stoïcien Lucain (39 à 65 après J.-C.) "Bong !" : le bruit du décollage d'un soldat romain, lors d'une "baffe" d'Obélix.

"Ha Ha Ha Ha Ha Ha !" : Abraracourcix donne un message à Astérix en ricanant.

TVP : 3ème volet (droit) :

"Tchac !" : Astérix brise les chaines qui l'immobilisent grâce à la potion magique. "Smac !" : Falbala embrasse Idéfix

"Grraooor !! ": Idéfix intimide avec son grognement. La fausse potion : pour se protéger, le druide Panoramix se bouche les oreilles,

le dos tourné, devant la marmite de potion magique qui bouillonne sur le feu. (dans le combat des Chefs)

Monnaie de Paris commémorative - 2 € / 2019 :
coincard officiel des 60 ans d'Astérix, le Gaulois.

Pièce qualité Brillant Universel (BU), numéroté au verso.

Présentation : Coincards / Faciale : 2 € / qualité : BU
Métaux : bi-métalique / Poids : 8,5 g / Ø : 25,75 mm
Forme/tranche : circulaire gravée et striée / Tirage : 100 000 ex.

Profil d'Astérix portant son célèbre casque ailé. Il est entouré de lauriers
et d’inscriptions romaines pour ses 60 ans. Le millésime 2019 et la mention

RF s’inscrivent : LX pour 60 et MMXIX pour 2019. L'anneau externe
de la pièce représente les douze étoiles du drapeau européen.

Fiche technique : 03/12/2009 - Retrait : 24/09/2010 - Les 50 ans d'Astérix (né en 1959).

Conception graphique : Albert UDERZO © 2009 les éditions Albert René / Goscinny - Uderzo - Impression :
Héliogravure - Support : Papier gommé - Couleurs : Polychromie - Format bloc : V 135 x 143 mm

Format des 6 TP - Astérix : V 26 x 40 mm / Assurancetourix, le barde : H 40 x 30 mm / Panoramix
distribuant la potion magique : H 80 x 26 mm + faciale : LVI (56) Sesterces / Falbala : V 30 x 40 mm

Idéfix : H 22 x 17 mm et Obélix livrant un menhir recouvert de poudre de pierre : V 50 x 100 mm.
Dentelure : 13 x13 - Faciales des 6 TP : 0,56 € - Présentation : Bloc spécial de 6 TP indivisibles
Prix de vente : 5,20 € (6 x 0,56 € + 1,84 € au profit de la C.R.F.) - Tirage : 1 700 000. - Visuel :

Le village gaulois se prépare à la lutte, présentant une caricature de l'âme franco-gauloise, avec plusieurs
des personnages proche d'Astérix, Obélix, Bonemine et Abraracourcix le chef, Panoramix le druide,
Assurancetourix, le barde et d'autres gaulois du villages. + des soldats romains en mauvaise posture.

Particularités : Sur 3 TP : "Gaule" et "France" se côtoient. / le micro-texte sur le bois de la toiture :
"La recette de la potion magique ne se transmet que de bouche de druide à oreille de druide".
Dans le fond de la marmite : Panoramix dit en distribuant la potion : "Non Obélix, pas toi !"

08 et 09 mars 2025 : Fête du Timbre 2025 - nouvelle thématique sur les Arts de la Rue.

Dans la tribu des saltimbanques de la rue, les acrobates, entre cirque, gymnase, cabaret et théâtre, rendent toute leur poésie aux pavés et au bitume.
L’acrobate, selon l’étymologie, « marche sur la pointe des pieds », mais les mots « acros », extrême, et « bates », marcher, ont le sens d’avancer et se mouvoir, à la
recherche de l’extrême dans un espace hors du commun. Son langage corporel universel va au-delà des mots, devant un public plutôt que d’attendre un public qui
choisit un spectacle. Avec le tremplin humain, les bascules, trampolines et balançoires, le voltigeur s’extrait de l’apesanteur. Le contorsionniste se replie dans sa boîte
ou s’enroule autour d’une corde en des postures reptiliennes. Désarticulé et disloqué, il brave les lois de la flexibilité pour atteindre une expression surnaturelle.

Le funambule frôle la mort et il magnifie son art dans des décors urbains, les tours de Notre-Dame de Paris ou du World Trade Center. Suspendu entre ciel et terre,
il marche sur les nuages. Le mains à mains allie la force du porteur et l’élégance du porté. Planche du crocodile, équilibre mexicain, ange sur le dos, banquine…

Poésie des mots, maîtrise du geste. L’acrobate devient œuvre d’art vivante. Aujourd’hui, l’acrobate retranscrit la vie urbaine, ses rythmes effrénés et ses déséquilibres.
Aux confins de la danse, du théâtre et du gymnase, il émerveille, dans la rue lieu d’échanges, un public au plus près, et traduit les antinomies du siècle. L’acrobate italien

Arcangelo Tuccaro (1535-1602 ou 1616), saltarin du roi Charles IX en 1570 et auteur du premier ouvrage théorisant l’art acrobatique, publié en 1599, conclut :
« car bien dire, sauter, sont les faits d’un archange ». On ne saurait conquérir plus élégamment ses lettres de noblesse. © La Poste – Daniel Cornut -Tous droits réservés