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Malgré la régression économique qui a suivi, dans un premier temps, Dôle connaît au XVIII   siècle   Timbre à Date - P.J. :27 au 29
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                                un essor   économique important. Durant la Révolution française, la constitution de Dôle et ses privilèges   /03/2020
                                sont abolis, puis certains établissements religieux sont vendus comme biens nationaux et sont démolis,    au Salon philatélique de printemps
                              ou transformés en pensionnat (couvent des Capucins), en hôtel, en magasins (couvent des Dames d'Ounans),    (Dole - 39 Jura) et les 27 et 28/03/2020
                                 en prison, ou accueille des services administratifs (couvent des Cordeliers). En 1793, la collégiale est   au Carré d’Encre (75-Paris)

                                reconvertie en Temple de la Raison, et la ville devient le chef-lieu du Jura par décrets du 27 juil. et
                                du 9 août, au détriment de Lons-le-Saunier, disgracié pour son engagement fédéraliste. Mais en 1795, les
                               jacobins sont expulsés de Dôle, et Lons-le-Saunier redevient le chef-lieu du Jura par décrets du 18 mars.
                               Depuis, Dôle a connue les différents conflits, des mouvements ouvriers, des grèves, des bombardements
                                  et la Libération le 9 sept.1944, par les troupes américaines. En 1962, un décret du préfet du Jura
                              officialise l'orthographe de Dole (sans accent circonflexe). De 1977 à 1983, le centre historique est aménagé.
                                  De 1982 à 1990, un nouveau port fluvial est aménagé. Depuis 1992, Dole fait partie des Villes
                                                      et Pays d’art et d’histoire.

                               La "fontaine d'Arans", proche de la porte d'Arans : située rue des Arènes, face au Musée des Beaux-arts.
                                Appelée "Fontaine Attiret" (1779), du nom de son sculpteur prénommé Claude-François (1728-1804),
                                                                         e
                               issu d’une dynastie d’artistes et artisans dolois très productive au XVIII  siècle. A la fois abreuvoir pour
                                les chevaux de la cavalerie et fontaine pour les riverains. Un bassin, un piédestal couronné par un vase
                               et encadré dans une niche au décor de stalactites en relief avec deux colonnes doriques et deux pilastres.
                               Elle est ornée des armoiries de la Ville, d'une plaque et d'une tête de lion, pour la distribution de l'eau.   Conçu par : Bruno GHIRINGHELLI

        Fiche technique : du 14 au 16.03.2019 – Vignette LISA - Salon Philatélique de Printemps
         à Dole (39-Jura) 2020 - la fontaine de Pierre Duc et l’église Saint-Jean, patrimoine sacré.

      Création : Bruno GHIRINGHELLI - Impression : Offset - Couleurs : Polychromie - Type : LISA 2
      papier thermosensible - Format panoramique : H 80 x 30 mm (72x24)  - Barres phosphorescentes :
         2 - Faciale : gamme de tarifs à la demande - Présentation : Salon Philatélique de Printemps
        Dole 2020 + logo à gauche, B. Ghiringelli - Phil@poste et France à droite - Tirages : 30 000.

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       Visuel : la fontaine de la place Jules Grévy (1807-1891, président de la III  République de 1879
       à 1887) : elle caractérise par la présence de l’homme et de la femme, les deux rivières majeures
         du département, "le Doubs et la Loue", une œuvre de Pierre Duc (1945, peintre, graveur
          et sculpteur) réalisée en 2000.   +   l'église Saint-Jean-l'Évangéliste de Dole, consacrée
         en juin 1964, qui fut édifiée par les architectes Anton Korady et André David-Cottet,
      avec pour la grille monumentale, l'aide du sculpteur Maurice Calka né Moïse Tzalka (1921-1999).










              Fontaine "Le Doubs et la Loue"                     L'église Saint-Jean-l'Évangéliste : la vue intérieur et à l'extérieur, les grilles réalisées par le sculpteur Calka, illustrant l'Apocalypse de saint Jean.

                                             Le cadre enchanteur de la vieille ville de Dole.












                     Le port fluvial et la collégiale Notre-Dame.                       Le canal des Tanneurs et sa promenade.                       L'hôtel-Dieu (1613-1636), de style Renaissance.                Maison natale de Pasteur

                                      Quelques émissions philatéliques en rapport avec la ville de Dole.

                            Fiche technique : 25/09/1978 - retrait : 06/04/1979 - Série commémorative - Tricentenaire de la réunion de la Franche-Comté
                              à la Couronne de France, par la Paix de Nimègue (17 sept 1678 - entre le royaume de France et Charles II d'Espagne).
                           Création et gravure : Michel MONVOISIN - Impression : Taille-Douce - Support : Papier gommé - Couleurs : Vert noir, bleu, vert
                            Format : V 26 x 40 mm (22 x 36) - Dentelure : 13 x 13 - Faciale : 1,20 F - Présentation : 50 TP / feuille - Tirage : 10 000 000.

                           Visuel : Réunion de la Franche-Comté. Pour commémorer le Ill  centenaire de l'événement, la figurine rapproche le clocher-donjon
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                           de la Collégiale de Dole ancienne capitale, et la haute citadelle que Vauban bâtira à Besançon, dans le célèbre méandre du Doubs,

                                       Fiche technique : 05/07/1971 - retrait : 14/09/1973 - Série touristique - Dole (39-Jura)
                            Création et gravure : Claude HALEY - Impression : Taille-Douce - Support : Papier gommé - Couleurs : Noir, ocre-jaune et lilas
                            Format : V 26 x 40 mm (22 x 36) - Dentelure : 13 x 13 - Faciale : 0,65 F - Présentation : 50 TP / feuille - Tirage : ___________

                           Visuel : sous l'énorme clocher carré de la basilique Notre-Dame, majestueux édifice de style flamboyant, la charmante Place-
                           aux-Fleurs, construite en terrasse : toute la ville accroche en effet ses maisons sur les flancs d'une colline dominant le Doubs
                           et le canal du Rhône au Rhin. Du pied de cette jolie Fontaine de "l'Enfant à l'amphore" (1805), œuvre du Jurassien François-
                           Marie Rosset (1743-1824, peintre et sculpteur), on découvre une vue caractéristique sur les demeures anciennes et les grands


                               toits de tuiles rousses, qui donnent tant de cachet et tant de charme à cette riche et pittoresque cité comtoise.







                                         Fiche technique : du 02 au 04/11/2007 - retrait : 27/06/2008 - Série touristique - Timbres Passion 2007 à Dole (39-Jura)
                                    Création et gravure : Pierre ALBUISSON - d'après photo : D. Cordier - Impression : Taille-Douce - Support : Papier gommé - Couleurs :
                                   Polychromie - Format : H 40 x 30 mm (35 x 26) - Dentelure : 13¼ x 13¼ - Faciale : 0,54 € - Présentation : 48 TP / feuille - Tirage : 2 500 000

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                                   Visuel : La collégiale du XVI  siècle et le vieux Dole. Ville natale de Pasteur située à l’orée de la grande forêt de Chaux à quelques kilomètres
                                  du vignoble jurassien, Dole, ville d’art et d’histoire offre un secteur sauvegardé où l’on flâne avec bonheur. Le Doubs qui traverse la ville basse
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                                   a été canalisé au XIX  siècle pour laisser place au canal du Rhône au Rhin, permettant ainsi une navigation variée tantôt dans des eaux sages,
                                    tantôt en rivière naturelle. Au bord du Doubs, les rives boisées reflètent le charme de la cité. La nature est très présente. De la vieille ville,
                                  le regard s'envole vers l'immense forêt de feuillus de Chaux. Un paysage merveilleux, terre de la légendaire Vouivre, femme au corps de serpent
                                    avec un diamant au milieu du front, qui a longtemps nourri l'imaginaire franc-comtois. Marcel Aymé, qui résida à Dole, s'inspira beaucoup
                                     du lieu, et dans "Le Moulin de la Sourdine", il parle "de la chaleur et de la tendresse de cette ville, qui plonge ses entrailles dans la terre".
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