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portant sur le cartouche Orléans est cité, mais il est très inconstant). La
teinte du papier est souvent plus jaunâtre.
Carnets à plat :
A plat, les timbres sont agrafés à la couverture et l’écart central (pont), qui
mesure la largeur d’un demi-timbre est perforé. Les marges supérieures
des carnets « haut de feuille » ne sont pas perforées. On retrouve sur ces
carnets imprimés à plat les variétés de cases qui existent sur les feuilles im-
primées en rotative. Il existe 12 combinaisons de publicités sur les marges.
Sept des douze carnets sont des « semi-privés » c’est-à-dire qu’ils étaient
vendus dans le bureau de poste choisi par l’annonceur (qui pouvait ainsi
acheter tout le stock) et bénéficiaient d’un tirage très réduit.
Ce carnet Floravène fait partie des carnets « semi-privés » imprimés à plat
vendus dans un seul bureau de poste (ici Bordeaux – le nom de la ville
apparaît verticalement sur la couverture). Il a été imprimé au premier se-
mestre 1929.

Dans l’Echo de la Timbrologie N° 813 du 15 novembre 1929, Gaston
Tournier écrit : « Ce carnet servit, partiellement, à de la publicité auprès du
corps médical. »

Courrier adressé à un pharmacien.

Le carnet fut tiré à 5000 exemplaires (ou 4500 - voir ci-dessous).
Dans « Quinzaine philatélique » N° 50 du 20 mai 1929, André Suarnet écrit :
« Floravène obtint un tirage de 4500 .../... La Floravène cède des carnets à
prix raisonnables aux philatélistes qui en désirent, jugeant que sa publicité
n’y perdra pas. Que dire ? A mon avis, tout cela entretient la passion philaté-

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