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Hom NGUYEN est un artiste contemporain français, d'origine vietnamienne, né à Paris, le 20 sept.1972. Son travail artistique sur la représentation de la figure humaine est proposé
dans de multiples expositions personnelles et collectives, en France, à l’international et dans de prestigieuses institutions parisiennes comme le Palais de Tokyo, la Monnaie de Paris
et le musée de L’Homme. Ses œuvres sont intégrées dans de nombreuses collections privées et publiques. Son travail artistique sur la matière se veut instinctif et contrôlé, donnant forme
autant qu’il défigure. Il utilise de nombreuses matières relativement différentes telles que : l’huile, l’acrylique, l’encre, l'encre de chine, le feutre, la gouache ou le fusain. L'artiste réalise
la plupart de ses œuvres sur toile au pinceau, stylo, couteau et dripping (laisser couler ou goutter la peinture). Artiste engagé, il s’implique dans diverses causes et réalise des projets à visées
humanitaires pour la Fondation Abbé Pierre, les enfants malades de la Pitié Salpêtrière, les enfants du Mékong et la Maison de la Femme à Saint-Denis.

Roger KASPARIAN est un photographe, ingénieur et poète français, d'origine arménienne, né à Paris le 12 janv.1938 et décédé le 15 fév.2024
Le jeune Roger Kasparian a eu l'opportunité exceptionnelle de photographier les plus grandes figures de la scène musicale française et internationale
des années 60. Parmi ces icônes, on retrouve des noms tels que Gainsbourg, Brel, Françoise Hardy, Claude François, Johnny Hallyday, Sheila, Sylvie
Vartan, les Beatles, les Rolling Stones, Nina Simone, Duke Ellington, pour n’en citer que quelques-uns. En 1960, lors de la Première d'Aznavour à
l'Alhambra, Kasparian a eu l'occasion de photographier Charles Aznavour pour la première fois. Ce fut le début d'une relation d'admiration et de fierté
pour Kasparian, qui a toujours considéré le Grand Charles, ce français d’origine arménienne, qui a su persévérer malgré les obstacles, comme un
exemple à suivre. À travers son objectif, il offre de Charles, une plongée fascinante dans sa vie et sa carrière. Ses photographies captivent l'essence
même du chanteur, révélant ses émotions, sa passion et son charisme. Grâce à son œil aiguisé et à sa maîtrise technique, Kasparian a su immortaliser
des moments clés qui ont façonné la trajectoire de ce géant de la musique. Que ce soit en noir et blanc ou en couleur, chaque photographie raconte
une histoire, une émotion, une vérité. Le photographe a su créer un dialogue visuel intime entre le spectateur et l'artiste, nous invitant à explorer
une intimité unique. Il a rendu un hommage à un artiste qui a marqué le monde de la musique de manière indélébile. (Nicolas Aznavour).

03 juin 2024 : La Magie de Jean-Eugène ROBERT - HOUDIN 1805 - 1871.
Jean-Eugène ROBERT-HOUDIN, né à Blois le 7 déce.1805, décédé à Saint-Gervais-la-Forêt le 13 juin 1871,
surnommé "le père de la magie moderne", est considéré comme l’un des plus grands prestidigitateurs de tous les
temps, à l’origine de presque tous les "grands trucs" de la magie actuelle. Il reste vénéré dans l’univers
de la magie qu’il a révolutionné. C’était aussi un grand constructeur d’automates, et son théâtre, du même nom,
illustré ici en affiches, accueillit les plus éminents magiciens de son temps. L’iconographie provient
du fonds Christian Fechner géré par le musée de la Magie de Paris. © La Poste - Tous droits réservés

Le Musée de la Magie, est situé au cœur du quartier du Marais - 11, rue Saint-Paul 75004 – Paris.
Tél : 01 42 72 13 26 - contact@museedelamagie.com / Dans le quartier historique du Marais,
au cœur du village Saint-Paul, le Musée de la Magie est un site insolite et interactif, ouvert au public depuis 1993.
Ses voûtes de pierre harmonieuses, datant du XVI ème siècle, vous fait découvrir un art secret millénaire.

Blois, la Maison de la Magie et la statue de Robert-Houdin

Jean-Eugène Robert-Houdin 1805-1871

Fiche technique : 03/06/2024 - réf. 11 24 485 - Carnet : la Magie de Jean-Eugène ROBERT - HOUDIN 1805-1871.
Conception graphique : Stéphane HUMBERT-BASSET - d'après l'iconographie © Christian Fechner - Musée de la magie, Paris / La Poste. - Impression :

Héliogravure - Support : Papier auto-adhésif - Couleur : Polychromie - Format carnet : H 264 x 68 mm - Format 8 TVP : V 24 x 38 mm (20 x 34)
Dentelures : Ondulées - Valeur faciale : 8 TVP (à 1,96 €) - Lettre Internationale, jusqu'à 20g - Europe et Monde - Barres phosphorescentes : 2
Prix du carnet : 15,68 € - Présentation : Carnet à 3 volets, angles droits, 8 TVP auto-adhésifs - Tirage : 200 000
Visuel de la couverture : titre : la MAGIE de ROBERT-HOUDIN ; avec Jean-Eugène Robert-Houdin et des images de l'affiche des "Farces de la Lune
et les mésaventures de Nostradamus". / volet central : fée, petit diable et carte + le code barre / volet gauche : destination du carnet, type
de papier utilisé et La Poste + visuel tiré de l'affiche de "L'Indienne Hawa-Djinah"
Timbre à Date - P.J. : du 30/05 au 01/06/2024 à PARIS-PHILEX 2024 et au Carré Encre (75-Paris- sans TàD) - Conçu par : Stéphane HUMBERT-BASSET

Visuel : La signature, par le diable, d'une carte de visite du magicien Jean Eugene Robert-Houdin
Stéphane HUMBERT-BASSET animera à PARIS-PHILEX 2024, une séance de dédicaces le jeudi 30 mai de 13h à 16h.

Livres de Christian FECHNER : 2 luxueux volumes grand format sous coffret (462 et 473 pages / 22 x 29 cm), illustrés de 1200 documents rares ou inédits en couleurs et en noir et blanc.
C'est un monument, à la fois historique par l’abondance de sa documentation originale, et à la fois iconographique, par la qualité de ses illustrations dont une grande partie n’a jamais été reproduite.

Houdin fut également un grand inventeur : on lui doit en 1863, avant Thomas Edison (1847-1931, ingénieur, inventeur, mathématicien et physicien, lampe à incandescence en 1879), l'invention
de l'ampoule électrique (à filament végétal) ainsi que le plastron électrique pour les escrimeurs, les portes automatiques, le compteur kilométrique et des appareils permettant
aux ophtalmologistes d'étudier le fond de l'œil. Il était aussi un grand constructeur d'automates qu'il présentait dans son théâtre des "Soirées fantastiques" au Palais Royal.

En 1888, le théâtre Robert-Houdin, après être passé dans plusieurs mains, est cédé à Georges Méliès (1861-1938, réalisateur et illusionniste), et il innove avec de grandes illusions.

Affiche : "Ombres animées, Noir et Blanc" par Edouard Raynaly (842-1918) et "L'Indienne Hawa-Djinah" par Amalthée Florini au Théâtre Robert-Houdin - par l'imprimerie Émile Lévy (1889)

Affiches américaines : Nouveau truc merveilleux "La Stroubaïka persane" par le Persan Djelfah-el-Nadir, au Théâtre Robert-Houdin + dans les vignettes : les portraits
des prestidigitateurs Jacobs, Célestin François Duperrey (1843-1913) et Djelfah-el-Nadir. - par l'imprimerie Émile Lévy (1882-1888)